l'immédiate et Pessoa est cette ombre en sillage, lunettes rondes, petit chapeau de fonctionnaire, marchant avec une canne jusqu'au musée-bibliothèque un peu jaune et ridicule sur le bord de la mer. il est tant l'éclatement, l'absolu, le mystère. combien de temps me faudra-t-il pour dire ainsi j'accepte ? j'accepte - le fragment, le multiple, l'hétérogénéité du sujet décuplé, la voix montant de soi et qui semble celle d'une autre, les comètes en fusion et collision des coeurs - la possibilité d'être entière dans le morcellement. le soir je (re)lis Lisbon revisited (1926) : " Nada me prende a
nada.
Quero cinqüenta coisas ao mesmo tempo. Anseio com uma angústia de fome de carne O que não sei que seja - Definidamente pelo indefinido... Durmo irrequieto, e vivo num sonhar irrequieto De quem dorme irrequieto, metade a sonhar... " mercredi 13 février 2008 |