et puis dressée au bord du gouffre...
la maison folle où je t'attends
12.11.02
"Toutes les traductions sont des approximations. Plus le texte original est beau, plus la traduction ne peut être qu’approximative. On ne peut en aucun cas prétendre à la vérité absolue. Une traduction, c’est une interprétation. Comme pour un interprète d’une sonate de Beethoven. En plus, l’idée qu’on a d’un auteur peut changer, pas seulement à cause des traductions, mais à cause du mouvement des idées qui sont portées par ces traductions..."
André Markowicz,
traducteur incroyable de Dostoïevski, Tchekhov et autres grands bonshommes
sur remue.net (of course)
:: mis en ligne par O., 02:09