et puis dressée au bord du gouffre...
la maison folle où je t'attends
30.9.03
septembre, en attendant
le Journal change de visage - c'est l'Ophélie folle de John Waterhouse qui vient hanter les pages, et le blanc, le silence, un rouge nouveau, plus vif et plus intransigeant. j'ai traîné tout l'été dans les rues des villes vides, dans les vieux films muets, et puis pour le blog d'O j'ai choisi Lilian Gish - gorge folle où s'en va la rivière - j'ai pensé à Garbo aussi, à Anita Ekberg, à Hedy Lamarr surtout quand elle flotte nue dans l'eau - même impossible mouvement, même corps dansant, l'hystérie érotique dans ses plus beaux achèvements.
le Journal change de visage - c'est l'Ophélie folle de John Waterhouse qui vient hanter les pages, et le blanc, le silence, un rouge nouveau, plus vif et plus intransigeant. j'ai traîné tout l'été dans les rues des villes vides, dans les vieux films muets, et puis pour le blog d'O j'ai choisi Lilian Gish - gorge folle où s'en va la rivière - j'ai pensé à Garbo aussi, à Anita Ekberg, à Hedy Lamarr surtout quand elle flotte nue dans l'eau - même impossible mouvement, même corps dansant, l'hystérie érotique dans ses plus beaux achèvements.