et puis dressée au bord du gouffre...
la maison folle où je t'attends
26.3.03
c'est le moment de tenir le coup, de garder son libre arbitre, et de ne pas être le jouet de cette véritable marée de détournement, et d'overdose de l'horrible qui ouvre la porte à l'absence d'analyse, de jugement, de recul, de décryptage... tout se dit, tout se montre, comme si c'était le premier événement terrifiant qu'ait connu le monde, même si celui-ci est particulièrement odieux, inhumain, inadmissible...ce matin encore les journaux me dégoûtent.
16 septembre 2001, lettre de mon grand-père
:: mis en ligne par O., 00:11